Le Soleil tout entier ne se trouve Nulle part
Inspiré de la nouvelle d’Isaac Asimov Quand les ténèbres viendront, ce film évoque l’anxiété et l’hystérie d’une civilisation qui n’a jamais connu la nuit.
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Le Soleil tout entier ne se trouve Nulle part
2020-2021
- 4K
- couleur
- sonore
- 12min. 11sec.
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* sur demande
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Avec le soutien de la résidence ATELIER 105
Inspiré de la nouvelle d’Isaac Asimov Quand les Ténèbres viendront, ce film évoque l’anxiété et l’hystérie d’une civilisation qui n’a jamais connu la nuit, face à l’agonie progressive des soleils qui composent son système solaire.
Les images de Le Soleil tout entier ne se trouve nulle part sont issues de plans de films narratifs existants où le soleil est principalement mis en avant, et dont toute forme humaine a été effacée en post-production. Ce film est organisé sur des variations colorimétriques ainsi qu’une décroissance de la luminosité du soleil selon la nouvelle d’Isaac Asimov. La bande son est issue des captations sonore de l’énergie produite par les vents solaires capturées par la sonde Parker Probe de la NASA.
Inspiré de la nouvelle d’Isaac Asimov Quand les Ténèbres viendront, ce film évoque l’anxiété et l’hystérie d’une civilisation qui n’a jamais connu la nuit, face à l’agonie progressive des soleils qui composent son système solaire.
Les images de Le Soleil tout entier ne se trouve nulle part sont issues de plans de films narratifs existants où le soleil est principalement mis en avant, et dont toute forme humaine a été effacée en post-production. Ce film est organisé sur des variations colorimétriques ainsi qu’une décroissance de la luminosité du soleil selon la nouvelle d’Isaac Asimov. La bande son est issue des captations sonore de l’énergie produite par les vents solaires capturées par la sonde Parker Probe de la NASA.
With support of ATELIER 105 residency
Inspired by Isaac Asimov’s short story Nightfall, this film portrays the anxiety and hysteria of a civilization that has never known night, in the face of the impending death of the suns that compose its solar system.
The images of Le Soleil tout entier ne se trouve nulle part are taken from scenes of existing narrative films where the sun is predominant, and from which all human forms have been erased in post-production. This film is organized around colorimetric variations and a decreasing luminosity, as in Asimov’s story. The soundtrack comes from sound recordings of the energy produced by solar winds captured by NASA’s Parker Probe.
Inspired by Isaac Asimov’s short story Nightfall, this film portrays the anxiety and hysteria of a civilization that has never known night, in the face of the impending death of the suns that compose its solar system.
The images of Le Soleil tout entier ne se trouve nulle part are taken from scenes of existing narrative films where the sun is predominant, and from which all human forms have been erased in post-production. This film is organized around colorimetric variations and a decreasing luminosity, as in Asimov’s story. The soundtrack comes from sound recordings of the energy produced by solar winds captured by NASA’s Parker Probe.
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JÉRÔME COGNET
Artiste cinéaste vit et travaille à Paris
Films en distribution à Light Cone
Jérôme Cognet explore le support film autant que le cinéma et son histoire, en se situant là où « Il n’y a aucun témoignage de la culture qui ne soit également un témoignage de la barbarie » (Walter Benjamin). Ses films résonnent avec ce qu’on ne peut pas voir autrement que par l’image, du visible ou de l’invisible.
— Texte de Gaya Goldcymer
[ ENGLISH ]
Artist filmmaker lives and works in Paris
Films in distribution at Light Cone
Jérôme Cognet explores the medium of film as much as cinema and its history, taking up a position where « There is no testimony to culture that is not also a testimony to barbarism » (Walter Benjamin). His films reflect what we cannot see other than through images, whether visible or invisible.
– Written by Gaya Goldcymer
Films en distribution à Light Cone
Jérôme Cognet explore le support film autant que le cinéma et son histoire, en se situant là où « Il n’y a aucun témoignage de la culture qui ne soit également un témoignage de la barbarie » (Walter Benjamin). Ses films résonnent avec ce qu’on ne peut pas voir autrement que par l’image, du visible ou de l’invisible.
— Texte de Gaya Goldcymer
[ ENGLISH ]
Artist filmmaker lives and works in Paris
Films in distribution at Light Cone
Jérôme Cognet explores the medium of film as much as cinema and its history, taking up a position where « There is no testimony to culture that is not also a testimony to barbarism » (Walter Benjamin). His films reflect what we cannot see other than through images, whether visible or invisible.
– Written by Gaya Goldcymer
